• Uyuni y el Salar

      

    Hola todos. Après 3 jours (enfin 2 et demi...) nous voila de retour sur Uyuni. Petit retour en arrière sur ces trois derniers jours.

    Mardi matin : réveil dans le froid... comme presque partout en Bolivie et au Pérou pas de chauffage (et bâtiments mal isolés qui plus est). Du moins, avoir du chauffage c'est le grand luxe, luxe que nous ne nous sommes pas accordés pour éviter d'exploser notre budget. Pas que ce soit si cher, mais ne pouvant payer qu'en espèces, et avec un plafond non démesuré, cela limite tout de même un peu nos choix. Toutefois, un vague réchaud vissé sur une bonbonne de gaz et posé dans le couloir fait semblant de réchauffer les chambres. Pas de douche non plus ce matin. Les tuyaux ont gelé pendant le nuit. Je commence à apprécier les lingettes que nous avons apportées et qui encombraient mon sac. Ce matin, j'ai également mal choisi mon jour pour coincer mon dos en voulant soulever les 3t que pèsent mon sac. Bref, froid donc, et le dos endolori... mais le franc soleil au dehors réchauffe nos coeurs. D'autant que s'annoncent -a priori- trois jours de pur bonheur. Habillage devant le réchaud du couloir, petit déjeuner dehors dans un café, et vamos a la agencia de viaje, le temps de prendre nos billets de train pour Vilazon - ville frontière avec l'Argentine. Première classe cette fois : pas question de passer une nouvelle nuit dans le froid. Pour ce dernier trajet Bolivien nous nous offrons ce luxe.
    10h30 à l'agence, le temps de charger nos sacs (juste le nécessaire, le reste dormira à l'agence) et c'est parti? Pas tout à fait. Un contrôle de police touristique choisit (au hasard) notre agence. Nous apprendrons plus tard que notre retard et ne pas avoir notre guide tout de suite est lié au fait que ce dernier n'était pas en possession de son permis de conduire. Peu importe. Encore un peu d'attente car un 6ème passager nous rejoint. Nous devions être 5 au départ (le maximum étant de 7 passagers compressés... les agences ne devant en principe ne pas dépasser 6). Viajaremos con la compania de 3 encantadoras chileñas (Roma, Katelina y Francesca), y con un francés muy simpatico, Cyril. Cyril - informaticien-photographe de métier (ça me rappelle quelqu'un)- a été "recasé" avec nous suite à une défection de son agence. Il nous quittera au bout de 2 jours pour rejoindre le Chili, mais il ne sait pas encore comment. Bref, pour lui l'incertitude est forte. Il est désolé des perturbations qu'il engendre... alors que ce serait plutôt à son/notre agence d'en être désolée. Peu nous importe en tout cas, la perspective des 3 jours à venir nous enchante d'avance. Enfin nous voila partis avec un guide provisoire, pour une première étape vers le cimetière de trains. Aux portes de la ville, sont entassés quelques vieilles locomotives et vieux wagons rouillés sur lesquels nous pouvons grimper en toute liberté. Corenthin s'en donne à pleine joie vous vous en doutez! Après une vingtaine de minutes à déambuler entre et sur ces carcasses rouillées, nous voila re-partis en 4x4 avec notre guide-chauffeur (le bon... Nelson), direction Colchani, aux portes du Salar. Petite visite de son marché artisanal, son musée de sel (fait de sel, avec statues de sel...). Nous devions y voir le processus de "fabrication" du sel, mais en solo, sans notre guide resté au véhicule, nous passons à côté. Un détail. Quelques pas entre les maisons de sel et tas de sel, et nous voila alors lancés vers ce qui s'avèrera le clou du spectacle : le Salar et ses 12000 km carrés de surface (prof. 10cm aux bords, et jusqu'à 12m en son centre; ça en fait des km cubes). Surprise car ce n'est pas dans ce sens que le parcours était prévu. Un des motifs de mon choix, outre la bonne impression que m'a faite l'agence et les bons échos, fut ce parcours à l'envers du sens standard. Il devait permettre de profiter du salar avec les plus belles lumières. Visiblement changement de programme lié à la présence de Cyril (nous verrons plus loin que c'était complètement lié au "guide"). Peu importe -à ce moment- car le spectacle est grandiose! Du blanc à perte de vue! Une mer de sel. C'était une mer du reste, avant que la tectonique des plaques ne s'en mêle et ne soulève ce plateau, puis que le soleil ne finisse le travail en l'asséchant. Comme des milliers de touristes avant nous, et des milliers après nous, nous faisons quelques pitreries immortalisées sur quelques (millions de) pixels. Encore un arrêt un peu plus loin, voir un hôtel de sel. Il n'est plus en service car n'est pas pourvu d'évacuation d'eaux usées, et au beau milieu de salar il contaminait ce dernier. Evidemment, nous ne pouvons nous empêcher de nous adonner à d'autre pitreries comme se faire porter sur la main (illusion d'optique bien sûr). Le véritable clou du spectacle est un peu plus loin, sur une des (anciennes) iles : la isla Incahuasi. A mesure que nous nous en approchons, nous avons l'impression de foncer dedans. L'effet d'optique! Et si c'était un mirage? Non, nous y arrivons enfin, après pas mal de secousses. C'est que malgré son aspect parfaitement plane, la surface est tout de même plus rugueuse que de l'asphalte, avec ses hexagones parfaitement agencés. Nous mangeons ici, au pied d'Incahuasi, de la viande et surtout du Quinoa (Coco adore; pas en soupe, mais cuit comme du riz, oui). Repus, nous entamons alors l'ascension de l'ile et sa descente, en une petite heure. Nous escaladons donc cette ancienne ile volcanique -comme toutes celles du salar et les montagnes environnantes-, envahies par de superbes cactus centenaires (cardones) sortis tout droit des déserts mexicains. Du sommet, l'instant est magique tant la vue à 360° est "belle à en pleurer". J'en oublie mon mal de dos tellement nous restons scotchés devant cette blancheur à perte de vue, devant les anciennes baies et plages encore visibles.... On en perd la ligne de l'horizon avec cette réverbération. Attention aux yeux et aux coup de soleil! Le vent frais nous ferait oublier de prendre quelques précautions. Après ces instants inoubliables, nous partons vers ce qui sera notre destination finale de la journée, Puerto Chubica (du moins à 2km de là). Vu le blanc à perte de vue, l'absence de route bien établie (autre que les traces de pneus des autres 4x4), nous comprenons pourquoi s'aventurer ici en solo tient en effet de... l'aventure. A Puerto Chuvica, seconde surprise : le chauffeur demande si nous pouvons y dormir. Ce n'était en effet pas la destination prévue (à quelques km près). Peu importe. Nous dormirons donc ici, dans une maison de sel, au sol de gravier... de sel, sur des lits... en sel, et mangerons sur des tables... en sel. Plus tard, le sel ne manquera que dans nos assiettes en somme. Avec Corenthin, nous avons la chance d'avoir une "chambre" à deux seulement. Avant une "mérienda" bien méritée, une partie de football s'improvise entre les propriétaires de l'hôtel et quelques uns d'entre nous. Un carré sur le sel sale à cet endroit (car "orilla" adossé à la montagne) fait office de terrain et 4 grosses pierres feront offices de poteaux. A cette altitude (4000m, je le rappelle), pas de gestes techniques à la Zidane, et encore moins de courses folles, vous vous en doutez. J'apprécie de ne pas être fumeur (contrairement à certains co-équipiers). Pour la petite histoire, Coco et moi avons fait équipe avec deux italiens, comme un clin d'oeil à un certain 12 Juillet 2006. Nous avons gagné 3-2 (j'ai même marqué 2 fois, qui l'eut cru!). Le temps de la merienda venue, nous passons assez vite a la cena avec nos compagnons de route. Coco en profite pour saouler encore Cyril :  croiser des francophones lui fait un bien fou! Le repas passe bien. La soupe pas tellement, mais le "pollo a la plancha" suivi des "papas con platanos" oui. C'est avec grand plaisir que je fais connaissance avec mes voisins de table, un couple d'Argentins (de Buenos Aires), accompagné d'une française avec sa fille. Je retrouve chez les Argentins tout ce qui me fait aimer ce pays : la chaleur humaine et le sourire au lèvre en permanence. Je dois avouer que la Bolivie me laisse sur ma faim côté accueil. Notre guide justement, bien que non-antipathique , n'est pas très loquace. Je pensais que cela était lié à mon espagnol approximatif, mais mon impression est largement partagée par nos compagnones chiliennes. "Helado" ont-elles utilisé pour le caractériser. Coucher tôt ce soir. En principe, le circuit devant être fait à l'envers, il devait être prévu un réveil vers 5h pour voir le lever de soleil sur le salar (et non sur son bord grisâtre). Il n'en sera rien...

    Second jour: malgré tout, je me lève assez tôt, pour avoir la chance de voir le soleil poindre sur l'horizon de sel, même si je sais que je perdrai la magie annoncée (trop loin du blanc, on en perd une partie des couleurs). Nous sommes une dizaine à avoir eu ce courage et à attendre fébrilement dans le froid qui transperce nos nombreuses couches de vêtements. 7h10 environ, le soleil daigne enfin s'offrir à nous. Le spectacle est magnifique vu d'ici, ce qui me fait regretter un peu plus de ne pas être plus près de la blancheur saline. Surprise, je reçois un SMS de Caro et Willy, mais ne peux y répondre... Mystère des ondes électro-magnétiques. Le petit déjeuner, composé de café soluble ou autre maté, accompagné par un peu de pain, beurre (margarine) et dulce de leche nous réchauffe un peu. Tiens? Il me semblait avoir vu des oeufs dans le 4x4... pour plus tard? Nous plions alors nos sacs de couchage -vitaux par ces températures nocturnes négatives (atteignant parfois -20°)- et sacs tout court. Départ 8h30, une route sinueuse nous mène vers Colcha'K (si je ne me trompe pas). Nous traversons des paysages magnifiques, à pleine vitesse. Nous croisons en route une caserne militaire à Mañica? (désolé, j'ai avalé son nom). Nous apercevons ici où là quelques vigognes (vicuñas) ou lamas (llamas), ou encore à proximité de Mañica un habitant à vélo. A se demander comment peut-on pédaler dans cet environnement chaotique et sablonneux à la fois. Il ne pédale pas du reste, ce qui me laisse à penser que son vélo (de ville) lui sert de "porteur". La sente que nous suivons fini par se lisser, permettant au chauffeur d'accélérer quelque peu. Nous nous croyons seul au monde, mais croisons un colectivos, ce qui nous rappelle que ce n'est pas le cas. Nous rencontrons également l'une ou l'autre moto. Des futurs concurrents du Dakar? Les petits cours d'eau gelés nous confirment que les journées sont froides à cette période de l'année. Nous atteignons finalement la partie dite sud-Lipez, traversons San-Juan (pueblito d'une centaine d'habitants) et le salar de Chiguana, mélange de sel et de sable. Après plus d'une heure de route, nous nous arrêtons enfin prendre quelques clichés (merci Cyril pour cette demande). Des volcans entourent le plateau -le Lipez- sur lequel nous nous trouvons. La plupart sont inactifs, mais pas tous. Le volcan Ollague, que nous verrons d'un tout petit peu plus près, est toujours actif. Nous ne verrons pas de fumerolles aujourd'hui. Au loin, se dresse la cordillère andine, côté chilien... Ca en fait frissonner nos compagnones. Après cette courte pause à tourner nos regards dans toutes les directions, nous reprenons la route -je devrais dire la piste- en traversant des paysages plus beaux les uns que les autres. Je regrette de ne pas pouvoir m'attarder un peu plus.  Francesca, malade depuis deux jours, ne peut pas profiter de ces paysages incroyables. C'est en mode vibreur que nous continuons notre route, ce qui ne doit pas arranger les affaires de notre compagnone. Je comprends également pourquoi le 4x4 est indispensable dans cette zone. A mesure que nous approchons du volcan, la route s'élève un (petit) peu dans de larges lacets, et les rocailles laissent place à quelques broussailles éparses. Nous nous arrêtons à un "mirador", ensemble désordonnés rocailleux façonné par la lave ancienne, face aux 5854m de ce volcan. Un peu plus loin, après avoir croisé quelques troupeaux de lamas (annoncés par des panneaux routiers...), nous nous arrêtons pour un bref repas (pâtes et légumes, milanesa, après la "traditionnelle" soupe -beurk...-). Après cette halte, retour dans notre bolide pour atteindre laguna turquesa. Elle est "habitée" par quelques oiseaux au plumage noir, bec orange et blanc. Pas de flamand rose ici : ils sont à la laguna colorada. Le bleu turquoise de l'eau, gelée aux 3/4, tranche avec l'ocre des monolithes qui le précèdent. Le spectacle est superbe, et nous fait oublier les longues heures de route subies avant d'arriver ici. Un peu plus loin, nous entrons dans ce qui s'appelle "el valle  de Rocas", succession de pierres dont le "gros oeuvre" est la conséquences des volcans alentours, et la finition conséquence de l'érosion (vent et pluie). Les différentes formes stimulent notre imagination : un champignon se dresse devant nous, nous nous abritons sous un parapluie de pierre, nous prenons la pause devant une pile d'assiettes, pendant que E.T. nous observe. Nous ne cessons de croiser des paysages splendides, comme ce salar d'où l'on extrait du Borax. C'est d'une beauté à couper le souffle, plus que l'altitude ne nous le coupe.  Un peu plus loin, un ensemble de deux maisons et... de deux terrains de foot sur sel. Il s'agit de l'entreprise qui extrait le borax, ce qui explique cette incongruité apparente. Objectif à venir? La Laguna Colorada. Il n'est pas prévu d'y entrer. L'agence nous a assuré qu'en raison du gel et de la neige, non seulement la moitié du parc est fermée, mais l'autre moitié est dangereuse. De plus, le blanc remplace bonne partie des couleurs. C'est donc de loin, et dans et dans le froid que nous admirons les premières eaux violacées par une micro-algue colonisant cette lagune. Les "flamengos" viennent y manger et ainsi y "colorer" leur plumes. Nous n'en verrons pas d'où nous sommes. C'est ici que notre route se sépare de celle de Cyril. Son circuit comprenait, lui, cette lagune, suivie du passage au Chili direction San Pedro de Atacama. Nous patientons 45 minutes durant dans un froid glacial. Francesca s'abrite comme elle peut derrière un muret, adossé au poste d'entrée dans le parc. Voila qui ne va pas arranger son état; une seconde nuit de fièvre s'annonce. Nous entamons une discussion avec le guide d'un autre groupe, bien plus bavard. Il nous explique que certains guides sont plus chauffeurs que guide (on s'en était aperçu), ou que certaines agences promettent les couleurs de la lagune... alors recouverte de neige (ce n'était pas le cas de la notre; ouf). Enfin notre 4x4 surgit dans un nuage de poussière. Nous retournons sur Villa Mar, y passer la nuit. Cette fois-ci, plus de sel. Le logement est plus spartiate et nous dormirons à 5 dans la même pièce. Rapidement, Roma, Katelina et Francesca rassemblent deux lits, dans lesquels elles dormirons à 3 pour avoir plus chaud. Comme la veille, pas question de prendre une douche : l'eau est à peine liquide le soir, et carrément solide le matin (je sais, on appelle ça de la glace). L'air ambiant ne nous invite pas non plus à enlever quoique ce soit. Les images ressassées dans nos têtes atténuent un peu nos tremblements de froid. Un seul regret: nous avons fait beaucoup (trop) de voiture pour (trop) peu de temps de pause. Après quelques discussions nous avons finalement droit à une petite flambée dans le "comedor". Elle ne dure que le temps que les quelques branches ne se consument : un feu de paille ou presque. Nous n'avons pas la chance d'avoir la chaudière à bois des cuisines, ni même la bonbonne de gaz que le chauffeur a descendu du toit du 4x4. Après la soupe (beurk), les spaghettis (chouette) à la sauce tomate pleine d'oignons (beurk), nous nous réchauffons... les mains à boire maté ou autres infusions. Nous profitons de quelques notes de musiques de 5 musiciens locaux (Coco apprécie), suivies de musique... tout droit sortie du lecteur MP3 de Roma. Quelques discussions et échanges d'impressions plus loin nous nous couchons vers 21h, le sentiment qu'il est bien plus tard.

    3ème jour : toujours pas de douche. Pas d'eau tout court d'ailleurs... du moins sortie des canalisations gelées. Encore un lavage aux lingettes... Corenthin a de plus en plus de mal à vouloir enlever la moindre couche de vêtement. Il faut pourtant se laver à minima. 7h, petit déjeuner. Pas de lever de soleil ce matin : nous sommes mal orientés. Je tente quand même de prendre le moment ou les premiers rayons dépassent la montagne toute proche. Ce matin, nous avons quelques oeufs brouillés. Coco se fait un plaisir de les manger. Après deux jours malade, dont une nuit de fièvre, Francesca a l'air d'aller mieux. Elle devrait pouvoir profiter de la journée... de voiture... qui nous attend. Rapidement après le départ, nous nous arrêtons à la vallée perdue. Semblable à la vallée des rochers. Nous nous émerveillons toujours autant de ces sculptures improbables, tels deux chiens face à face, ou ce visage de profil. Quelques poses de plus et c'est reparti pour quelques secousses ou virages nous permettant de "sentir" ce qu'est la force de Coriolis. Pas grand chose de plus à raconter... sentiment de frustration. Après de longues heures de route, nous voila à Uyuni... on a dû rater quelque chose au passage. L'agence m'avait parlé de 3 sites payant or nous n'en avons passé qu'un. Le dernier est à venir : les bains thermaux. Quid du second? Qu'a-t-on raté d'autre? Arrivés à Uyuni (vers midi...), le chauffeur s'arrête plusieurs fois, prend la route des bains, s'arrête encore, roule au pas alors que la route est enfin asphaltée. Nous devinons enfin pourquoi : ces bains sont étape récente du circuit et le conducteur ne sait pas où ils se trouvent. Après moult hésitations, nous les trouvons enfin. Mais il n'y a pas assez d'eau pour s'y baigner et d'un commun accord nous refusons de payer l'entrée pour un simple bain de pieds : l'agence nous avait annoncé un bain (et même "nager" m'a-t-elle dit). Dommage car l'eau sortie d'à peine plus haut, des tréfonds du volcan, avait les quelques "grados" qui nous manquent tant depuis quelques jours. Nous mangeons ici, pique-nique dans le froid. C'est donc frustrés, voir énervés que nous arrivons à Uyuni vers 15h, 3h avant l'heure prévue. Bien évidemment nous avons tenté de faire entendre notre voix auprès de l'agence. La personne présente est restée sourde à nos revendications et nous a renvoyé vers le "dueño", lui-même guide, qui doit rentrer plus tard (à l'heure prévue, lui). C'est sans conviction que nous retournons, et après plusieurs dizaines de minutes de palabres, la tenancière finit par prendre conscience que outre le désagrément des bains, nous n'avons pas fait le circuit prévu. Tito, le patron arrivé entre temps, nous comprend parfaitement. Il apprend également surpris que Cyril nous a accompagné... La chauffeur ne l'avait pas prévenu... Je ne rentrerai pas dans les détails des arrangements entre amis du premier jour. Tito consent sans aucune difficulté à faire un geste. A l'entendre parler, passionné, chaleureux, compréhensif, à voir la mine ravie de son groupe et des autres groupes, nous comprenons que nous avons simplement eu la malchance de ne pas tomber sur un des autres guides de l'agence. S'il me reste quelques frustrations de ce denier jour en particulier, la visite du salar et se promener dans ces paysages magnifiques reste une expérience unique. Nous la referons sans hésitation, plus tard, et en prenant plus de précautions. Demain, dernière journée à Uyuni, en solo cette fois. Pas de train le jeudi, d'où ce temps mort à venir. Ne vous inquiétez pas, on saura l'occuper!! En attendant, un petit steack de lama (enfin moi, Coco se jette sur des raviolis; mais il aime le lama) et au lit.

    Muchos cariños y fuertes abrazos


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    « Desde Potosi hasta UyuniPulacayo y puesta del sol en el Salar »

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  • Commentaires

    1
    Dimanche 7 Août 2011 à 23:07

    C'est pas un peu haut sans corde !

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